La Trace

Monique Bretéché

Du 13 novembre au 13 décembre 2009

L’exposition a accueilli 486 visiteurs.

 

La désormais traditionnelle exposition d’hiver est cette année 100% Monique Bretéché.
Bien qu’elle vive au gARage et que ce soit aussi son atelier depuis déjà cinq ans, c’est la première fois qu’elle y présente seule ses œuvres. Celles-ci ont toutes été réalisées au gARage, mais de nombreuses ont été présentées à La Flèche, Nantes, Vertou, à Centrale7, à Pouancé… mais pas encore dans leur berceau. Les visiteurs les découvriront dans une scénographie appropriée et en nocturne.
Plus qu’une accumulation, il s’agit de retrouver la trace de cinq ans de travail, et de découvrir son évolution, des volubiles aux colonnes et du verre aux bouchons…
Comme pour notre dernière exposition d’hiver en 2008 mais à un degré moindre, le visiteur est à nouveau invité à s’immiscer dans l’œuvre et à y laisser, lui aussi, sa trace.

Le samedi 27 février à 19h30, l’association angevine Espace D nous a proposé une performance dansée au milieu de l’exposition La Trace. Une chorégraphie de 25 minutes inspirée des œuvres, présentée deux fois pour 55 spectateurs. Images Stéphane Chupé.

Nous étions 30 à la « pasta-party » qui suivait la performance et clôturait définitivement La Trace.

 

 

gARage pEOple : le reportage du vernissage au gARage!

Le sésame magique qui permettait d’entrer!


Dès 18h00, le ballet des limousines apprenait au promeneur qu’un évènement se préparait au gARage. Puis c’était l’arrivée de stars sous le crépitement des flashs. Du beau monde en vérité.

Vers 18h30, mouvement de foule: Monique descend l’escalier provenant de ses appartements pour se mêler à ses admirateurs. Certains ayant déjà visité l’exposition sont au bord du malaise stendhalien. N’y tenant plus, à 19h00, les convives forcent le buffet.

Mais tous se précipitent finalement dans l’Atelier: Maryse et Monique ouvrent officiellement la cérémonie.

  
Performance: Monique lit un texte de Yves Klein. On se pâme. Sept personnes sont évacuées en proie qui à l’hystérie, qui à la transe. Ensuite c’est le chaos total avec des scènes d’orgies et …

hum, bon.

Enfin, disons que cela aurait pu se passer comme cela… si un certain quant-à-soi bien mayennais ne nous astreignait pas à une certaine retenue qui n’empêche pas, et c’est heureux, une vraie convivialité.

Merci aux visiteurs de leur soutien et aussi de leur trace, puisque la proposition d’écriture sur le sol rencontre un beau succès.